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Chanteur et musicien, tantôt sur guitare classique ou au ukulélé, bAM se voit rejoint sur scène de 5 musiciens rencontrés au fil de son voyage musical. Stéph aux percussions et Francois contrebassiste à tout faire, qui troc parfois son instrument contre un saxophone ou une clarinette, sont toujours de la partie. Mais le projet accueille maintenant Hervé à la batterie, et Steven le guitariste-bassiste rockeur.
La bossa-nova, la musique cubaine, la world music de l'acoustique, côtoient maintenant le blues, la funk, le disco, et le rock. Les paroles en anglais, espagnol, ou français traitent d'amour, de rêves ou de scènes de vie, avec optimisme et positivité.
NONOLIMITE & les PSYCHO POTES font du Rock ou de la Chanson, au choix!
Le tout en français, mais pas que...
Du Rock à la Chanson française en passant par le Punk, le Funk, le Reggae, le Ska, le Metal, la Bossa, voir même l'Electro Kitsch, ils mélangent les styles sans compromis, ni état-d'âme jouant aussi bien en électrique qu'en acoustique!
En 2007, Nonolimite sort un disque autoproduit.Le concept de l'album s'apparente à une belle ballade: un patchwork de variété alternative. Les 11 titres nous promènent à travers un pays libre et ouvert à tous.
Au fil des années, il s'entoure des Psycho Potes: Double Dou à la Basse et à la Contrebassine, Julien puis Seb (depuis 2011) à la Guitare et Kev'One puis Stef' (depuis 2007) à la Batterie. Et depuis 2011, Amélie à l'accordéon, à la flûte et au chant, et de Bryan au CajonNONOLIMITE en acoustique.
Partageant la scène avec Les WAMPAS, ARNO, Les FATALS PICARDS, DAVID VINCENT, NO ONE IS INNOCENT, KIEMSA, Les FRERES COUENNE, La SEX BOMB, CORBIER et bien d'autres, ils composent de nouveaux morceaux en vue du prochain album.
Tirant leur nom "Jeune Goinfre" d'un poème d'Arthur Rimbaud, Fabrice Brusson (chant, guitare-basse et percussions) et Mike Katin (guitare) aiment mettre en musique des poèmes : Baudelaire, Rimbaud, Appolinaire ou T.H. Lawrence mais pas seulement.
Jeune Goinfre compose aussi ses propres chansons comme « Le héros » qui cherche un homme politique capable de résister à Wall Street. Des notes humouristiques et graves sur des rythmes variés.
Jann Halexander est un chanteur franco-gabonais. Il est également pianiste, acteur et producteur. Etudiant en géographie à Angers, dans le Maine-et-Loire, il prend un pseudonyme que lui inspire la personnalité de l'artiste sud-africaine Jane Alexander, dont les sculptures représentent des êtres hybrides. Le 16 septembre 2004, il sort un CD 3 titres, intitulé L'Ombre Mauve ; 3 titres de piano/voix minimaliste, oscillant entre le blues et la chanson française d'un songwriter égaré se succèdent, traitant de douleur, de mort et de race au travers de la filiation fils métis/mère blanche. Le 3 novembre 2004, il sort un CD 4 titres intitulé Brasillach 1945. Le chanteur va plus loin en chantant la plongée aux enfers de l'écrivain français Robert Brasillach, supposé homosexuel, antisémite, partisan de la collaboration et fusillé au lendemain de la Guerre. Sujet franco-français, rarement traité en chanson, qui suscite le malaise, agace ou fascine. Cette chanson permettra au chanteur, indépendant de se faire rapidement une place dans le paysage musical francophone. Le 6 avril 2005, le chanteur sort son premier album, Halexander Songs en indépendant. Les thèmes sont les mêmes, sur 10 titres simples, piano/voix. Jann Halexander parle du métissage, de l'ambivalence sexuelle, la folie et la Mort. Remarqué par le cinéaste Rémi Lange (Omelette, mes Parents), Jann Halexander interprète le baron Statross Reichmann dans le film Statross le Magnifique (2006), premier volet d'une trilogie, et joue ainsi aux côtés de l'actrice transsexuelle Pascale Ourbih. Le film sort directement en dvd . Jann Halexander produit en 2006 un concert de la chanteuse Aude mais leur relation professionnelle ne dure pas longtemps. Les concerts de l'artiste mélangent chansons drôles (humour noir) et chansons mélancoliques. Sa chanson J'Aimerais J'Aimerais, sur l'histoire d'un amour impossible entre un député catholique de Vendée et un jeune homme d'une famille modeste est l'argument de son premier film, du même titre, qui sort le 20 juillet 2007. Cette chanson a été régulièrement notamment diffusée sur Radio Libertaire, au plus fort de l'affaire De Villiers, début 2007. Son premier film, musical, J'Aimerais J'Aimerais est un succès et une intégrale en édition limitée 2003-2007 est sortie le 3 septembre 2007. Il est le fils de la romancière Anne-Cécile Frébeau (Mathilde et son Pianiste) Au moins de janvier 2008, il interprète le personnage du vampire Pretorius Malan dans la pièce de théâtre Confessions d'un Vampire Sud-Africain au musée des Vampires, en région parisienne.
Après un travail de composition avec Maxime Molinari, Eva Garcia réunie ses musiciens, dont Maxime, pour interpréter sur scène ses compositions. Le choix de passer d’abord par la scène s’est imposé comme une évidence au développement artistique d’Eva. En quelques mois seulement le groupe se produit sur des scènes emblématiques de la région parisienne (Grand Rex, Solidays, 1ère partie de Sanseverino au Stade de France, 1ère partie de Idir, Sunset, Baiser Salé, Flèche d’Or, lauréate du tremplin Milonga Chanson dans le cadre du festival de la chanson d’Aix-en-Provence…). Aussi, l’apport des musiciens dans les arrangements des morceaux d’Eva a permis de développer une identité artistique riche de la personnalité musicale de chacun des musiciens qui la suivent depuis le début de l’aventure. Ainsi, ce projet d’album oscille entre projet de groupe et projet d’artiste et s’inscrit dans la démarche de fusion des genres de certains artistes des années 70 (The Who, Pink Floyd, Queen…) tout en restant très encré dans la chanson française.
Empati ( alias Olivier GEAI ) est un slameur, rappeur, de la region parisienne. Touché depuis de longues années par les mots, en témoigne son premier roman "il s'appelait Mackins..." et son envie de faire vivre ses textes, il fait appel à JS Ledermann pour que ce dernier lui compose des mélodies sur lesquelles il pourra y poser ses mots. C'est là que commence l'aventure Empati qui sera son nom de scène. Pourquoi Empati? L'empathie se traduit par "réussir à ressentir ce que l'autre ressent, sans y inclure de sympathie et cela tout en restant objectif". Ce nom a donc été un choix, témoin du regard d'Olive qui souhaite que les textes engagés mis en mots par lui-même, fassent passer un message aux auditeurs. Le tout sur des compositions de JS Ledermann pour ce premier album en accord avec les thèmes abordés. Le but étant de réussir à faire passer différentes émotions émanant de certaines histoires, constats et autres faits de sociétés actuels. Ce premier album "L'affront à l'intolérance" est sorti en juin 2009. Empati entre de nouveau en studio pour sortir un single en Février 2011 "Haiti ma tendre amie" au profit des victimes du séisme en janvier 2010. Son second album sort en Septembre 2011 "Osons vivre"
Auparavant chanteur du groupe « Les Vivianes », Philippe Delanoë, allias Donas, est maintenant en duo avec Stéphane, qui l'accompagne avec ses percussions (Cajon, derbouka, woodblock).
Tous deux sillonnent la route des rades, rafiots et autres ilots musicaux en tous genres. Avec déjà deux CD dans les valises, dont le nouvel opus qui s'intitule « Marais Cage Jeux » et compte sept nouvelles chansons aux sonorités rock ou folkeuses, suivant les ritournelles.
Christophe CORBIER s'est immiscé dans la musique en commençant par le piano. Âgé d'une vingtaine d'années, c'est tout naturellement qu'il part pour paris, il y trouvera un enseignement très approfondis, moderne. En mélangeant tous les styles rock funk pop et jazz, il créé ainsi une vague de chanson moderne, que vous pouvez entendre en écoutant "les Paradis contraires"
Même si lors de son enregistrement on peut y entendre cuivres et cordes, La formation principale qui l'accompagne est souvent en 4et, il évolue en tant que pianiste et chanteur au sein de sa formation, avec basse, batterie, et guitare....
BONEL vous propose d'aller voyager dans leur univers tantôt folk, souvent rock, parfois blues, mais toujours très proche de nous et de notre quotidien.
Après deux albums sortis («Tel quel »-2002, « Plus le même homme »-2006), les arrangements se veulent de plus en plus travaillés, les textes toujours autant poétiques que pragmatiques.
Face à un paysage musical de plus en plus vaste, mais qui a tendance à se perdre dans des musiques répétitives aux paroles inexistantes de sens, il est bon de voir qu'un groupe revient enfin aux fondamentaux !
Avec des atmosphères qui rappellent Goldman, De Palmas, et des textes qui reprennent ce qui nous touche au plus profond (humeurs du destin, séparation, histoire d'amour en trompe-l'oeil, terrorisme, fatalité...), l'ensemble se veut percutant et riche en émotion.
Si vous parvenez à ressortir de leurs albums et de leurs 2 heures de concert sans vous poser de questions sur la vie qui vous entoure, c'est sans doute parce que les musiciens de BONEL auront réussi à répondre aux vôtres.
Nos amis bordelais de Sumsic débarquent avec cet Ep de six titre enregistrés au studio Arema Rock & Chansons de Talence. Le groupe distille un breuvage rock chanté en français ce qui flatte bien les sens et la curiosité.
Dès le titre d''engage "Existe-t-il ?", ils nous embarquent sans concession dans les univers decompléxé et si direct. La voix d'Arno fait penser par moment à celle de Kent des Starshooters mais calée sur un registre plus punk rock, mais le timbre agréable est une vraie machine à hymnes.
Les textes s'amplifient sous l'action des guitares fort bien cadencées et posées délicatement sur un mur rythmique des plus efficace. Les titres s'enchaînent avec limpidité et présente une homogénéité instinctive, ce qui rend l'écoute des plus agréable.
L'énergie transpire à grosses gouttes, et sert avec brio le coté revendicatif et accrocheur des paroles, comme sur le titre phare de l'Ep "Je tombe". Le coté engagé de nos lascars ne fait aucun doute et se dynamise littéralement au travers de leurs actions, comme leur présence sur la compilation "Compil’Vs Cancer".
Les atmosphères proposées sont bien réussies, et démontre le potentiel du combo à fédérer son auditoire, de par la rage dégagée accompagnée par une mélancolie omniprésente.
La production est bien compacte avec un équilibre qui laisse de l'espace à chaque instrument, et donne de la brillance à l'ouvrage. Un skeud incisif comportant un grand nombre d'ingrédient qui le rend parfaitement digeste et détonnant par la qualité et le potentiel de nos bordelais.
